Au cœur de la roue
Voletante de vocables
Je fais l’oiseleur.
[p. 12]
TROIS VERS, jamais plus dans ce court recueil, pour attraper
les mots, leur faire dire les petits images du quotidien, des maximes ou des
injonctions, les peurs face au temps qui passe et à la mort qui se rapproche. Trois
vers, qui forment des poèmes si courts et évocateurs, qui laissent place au plaisir
de l’interprétation. Trois vers souvent très imagés, parfois mystérieux et plus
hermétiques ; de temps en temps, une charmante allégorie au milieu des
métaphores. Trois vers d’inspiration orientale et contemplative, dans un esprit
d’observation de la nature et d’écoute de soi-même.
Un minuscule recueil riche de sens divers.
Encadres de Madeleine Gevers
Unimuse (Tournai), coll. Lubies, 1987 – 1re
publication
J'avoue n'avoir jamais rien lu de cette auteure. :(
RépondreSupprimerJ'ai par contre aimé les romans de son grand ami Alexis Curvers dont "Tempo di Roma". Et j'ai eu la chance de lire leur correspondance durant mes études. Elle est conservée à l'Université de Liège.
Il faudra que je la découvre.
J'aimerais découvrir cette correspondance, elle doit être très belle.
SupprimerOups, j'ai confondu Marie et Madeleine !! Honte à moi !
RépondreSupprimerJ'en ai parlé de façon rapprochée et les prénoms sont proches. ;)
SupprimerLe livre "Encadres" est très bien encadré dans ta bibliothèque ;-)
RépondreSupprimerContente que tu l'aies remarqué. ;) (Les choix d'arrière-plan sont rarement innocents)
SupprimerUn titre que je ne connais pas, des haïkus ? A découvrir.
RépondreSupprimerJe ne connais pas assez bien les haïkus (notamment leur métrique) pour l'affirmer, mais j'y ai moi aussi pensé. C'est un très joli recueil à découvrir.
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